Ci-dessous une prise de notes lors de la conférence « évaluer sans décourager » de Sylvain Connac proposée par la DDEC du Tarn le 19 avril 2017.
Vidéos « qu’est ce que l’évaluation ? »
Pour des élèves :
- Faire le bilan de tout ce qu’on a appris
- Une eval c’est comme un concours, ça me contrarie qd je réussis pas
- L’eval c’est pour voir notre niveau
- C’est un test qu’on passe à l’école pour voir si on a bien appris les leçons
- Ce sont des exercices et une leçon qu’on doit bien étudier
- On a des entretiens qui sont agréables
Maitre E- Moment essentiel qui permet de cibler les obj de chaque enfant. Apres chaque séance, voir où en est l’enfant. Permet de voir les progrès des élèves
Maitresse en CP : un outil au service de l’enseignant et de l’élève pour voir où en sont les élèves. Evaluation grâce au cahier du jour. Les entretiens permettent aux enfants de s’évaluer.
Les parents.
- Voir où en sont les enfants et palier là où ça pêche. Ça permet aux parents de voir ce que les enfants font en classe
- Vérifier que les apprentissages sont bien acquis.
L’évaluation sert-elle à trier les élèves ou à les accompagner dans leurs apprentissages ? C’est cette seconde piste que la conférence du matin proposera d’explorer. Après un rapide rappel du sens de l’acte d’évaluer et des différentes déclinaisons en pédagogie, nous entrerons dans la description des pratiques d’évaluation « positives et éducatives ». Elles sont entendues comme ce qui permet à l’élève, à ses parents et à ses enseignants de lier de manière systématique évaluation et apprentissage. Nous serons ainsi conduits à étudier les dispositifs d’évaluation organisés pour les élèves, les logiques de l’autocorrection ainsi que les principaux outils servant à en communiquer les résultats : notes, brevets, arbres de connaissances, ceintures, blasons. Le nouveau livret d’évaluation sera mis en perspective avec ces logiques d’évaluation par compétences.
L’objectif de cette journée est d’informer les enseignants présents de ce qu’il est possible d’introduire au niveau des évaluations des acquis des élèves pour que ceux-ci ne soient ni découragés par leurs erreurs ni systématiquement sélectionnés et, pour certains, progressivement conduits vers les voies de la relégation.
Projet de recherche de S. Connac : comment construire des systèmes pédagogiques qui s’adressent à tous les élèves ?
En quoi le fait de changer de paradigme peut permettre de s’adresser à un maximum des élèves. Objectif de la journée : comprendre le principe de la boucle évaluative.
1- qu’est-ce que l’évaluation ?
Question pour chacun de nous : Pour vous qu’est –ce qu’évaluer ?
C’est par de l’observation (écrite ou orale) mesurer où en sont les élèves autour d’un savoir d’action afin de leur permettre de passer au niveau supérieur
En Sciences de l’éducation : bcp de travaux sur l’évaluation (docimologues) évaluer c’est :
- Mesurer un écart entre ce que l’élève montre, manifeste à travers un comportement, et ce que l’école attend de lui. Cette tentative de mesure c’est l’évaluation (E Ketele, 1980)
- Mesurer l’écart entre un référé (le matériau de travail copie, production, expression, observation) et un référent (savoir à enseigner) (Barbier, 1985)
- On n’évalue pas quelqu’un (risque de jugement), on n’évalue pas un apprentissage (on ne peut qu’essayer d’évaluer une performance manifeste). Evaluer les élèves est trop restrictive. Essayer d’évaluer les acquis des élèves serait plus juste
Les exigences des enseignants évoluent.
Plusieurs effets :
- effet d’ordre de correction
- effet de halo : une copie bien présentée
- effet de contagion (a-prioris liés à une fratrie par exemple)
2e question : pourquoi on évalue ? quels en sont les objectifs ?
Un mouvement mondial part du postulat que les enseignants passent bcp de temps à l’évaluation (dans un collège de 600 élèves, 20 000 situations d’évaluation cf François Muller) voir https://f.hypotheses.org/wp-content/blogs.dir/1857/files/2014/09/94-septembre-2014.pdf
SELECTIONNER. Utilité sociale de l’évaluation. En France encore cette image que le LP serait réservé aux élèves qui ont des difficultés.
ACCOMPAGNER. Accompagner les apprentissages des élèves. Il y a l’idée de rétroaction (feed back). Déduction de l’accompagnement à partir de l’information issue de l’évaluation. Nature des erreurs permettent de déterminer des moyens.
L’eval contribue aussi à la construction de l’autorité de l’enseignant. Mais le souci c’est que si l’évaluation est un instrument d’autorité, elle devient un instrument de pouvoir et perd de son objectif d’accompagner les apprentissages. L’eval est à distinguer de ce qui relève de la discipline.
2- qu’est-ce que l’évaluation positive ?
Evaluation des acquis scolaires des élèves et livret scolaire. Décret 2015-1929 du 31 décembre 2015
Le choix de l’évaluation positive est un choix politique issu de l’analyse des enquêtes de type PISA. Les systèmes éducatifs où les élèves réussissent le mieux sont les pays où la sélection est la plus tardive .C’est ce que les Finlandais sont parvenus à faire il y a trente ans en décrétant un moratoire sur l’école. Le législateur a donc choisi d’accompagner les apprentissages jusqu’à la fin du collège.
L’évaluation positive est une expression maladroite qui fait appel au principe de l’école des fans (tous les enfants ont 10 et gagnent). Or le but de l’évaluation positive n’est pas de mettre 10 à tout le monde.
Quelle évaluation ?
On a un peu de recul sur les livrets de compétences mais les parents ne doivent pas être mis dans le flou. La compréhension doit être aussi rapide qu’une note.
Quelle conception de l’évaluation avez-vous ? Un test en 11 questions
4 profils d’évaluation : évaluation sélective, évaluation sommative, évaluation formative, évaluation éducative
3 familles d’évaluation : diagnostique, formative, sommative/certificative
A défaut de pouvoir participer à une entreprise collective, on peut faire sa part « la pédagogie du colibri ». ( En référence avec la légende amérindienne apportée par Pierre Rahbi :
« Un jour, dit la légende, il y eut un immense incendie de forêt. Tous les animaux terrifiés et atterrés observaient, impuissants, le désastre. Seul le petit colibri s’active, allant chercher quelques gouttes d’eau dans son bec pour les jeter sur le feu. Au bout d’un moment, le tatou, agacé par ses agissements dérisoires, lui dit : « Colibri ! Tu n’es pas fou ? Tu crois que c’est avec ces gouttes d’eau que tu vas éteindre le feu ? » « Je le sais, répond le colibri, mais je fais ma part » .)
L’évaluation diagnostique : le fait de réserver une semaine en début d’année scolaire à ces évaluations pose question d’autant que souvent elles ne bouleversent pas les parcours des élèves. Ces évaluations ont une utilité problématique et servent à cibler des élèves qui rencontreraient des difficultés (étiquetage stigmatisant). La conséquence de cette évaluation se traduit souvent par une image d’eux même dévalorisée. Ce courant vient du behaviorisme (comportementalisme) issue de la taxonomie de Bloom mais on a dépassé ça car le savoir est trop “saucissonné” et il manque l’approche complexe et la dimension du transfert.
Voir : synthèse sur la différenciation pédagogique de la CNESCO (mars 2017) http://www.cnesco.fr/wp-content/uploads/2017/04/Differenciation_dossier_synthese.pdf
Une évaluation sans note ?
« je vais donc utiliser dorénavant un nuancier de 20 couleurs”
Les notes ont disparu pour laisser place à des couleurs ou des smileys. Ou encore des grilles acquis, non acquis.
L’idée n’est pas d’enlever les notes mais de faire évoluer.
Ce qui pose pb aujourd’hui c’est l’utilisation de la moyenne de note. L’outil notation peut se montrer utile par rapport à l’intention. Ce qui est fondamental c’est la posture de l’enseignant. La bienveillance ne suffit pas. Elle doit s’accompagner par de la bientraitance avec des organisations pédagogiques particulières.
Une évaluation éducative ?
« Qu’est-ce que tu fais ? je calcule ma moyenne » Dessin de Wingz
Lorsqu’un élève reçoit une info à partir d’une évaluation, cette info doit être précise. Lorsqu’on pose une évaluation, c’est autour d’un apprentissage scolaire précis.
Question des programmes : procrastination pédagogique. « tu verras l’année prochaine » afin de boucler les programmes. C’est le fruit d’une logique globale.
L’assessment « évaluation accompagnée » issue du monde médical. L’évaluation que pose un médecin est un pari, une hypothèse. Si le patient revient une 2e fois le médecin va chercher ailleurs les causes du mal, il ne va pas répondre « trop tard j’ai déjà évalué! ».
Les phases de l’apprentissage d’après D Favre et C Gattegno.
Les neurosciences nous apportent beaucoup. Il ne suffit pas de se mettre face à une info via une vidéo pour apprendre. Si on transmet directement une information c’est profondément inutile (cf le magistral). C’est un effet « Julien Lepers » : ce n’est pas parce qu’on a écouté les questions et les réponses qu’on a appris quelque chose. Les savoirs transmis à ce moment-là sont arrivés comme des réponses à des questions qu’on ne se pose pas. Pdt la phase du sommeil paradoxal, l’activité de rêve a une activité cognitive très précise : réactivation des infos reçues par la phase diurne. Le fait de cette réactivation permet de faire le tri entre ce qui va être retenu et ce qui va être oublié.
Incompétence inconsciente : je ne sais pas que je ne sais pas = confort
Incompétence consciente : je sais que je ne sais pas. Cette phase a deux caractéristiques.
- Elle est désagréable du point de vue des émotions, on se sent déséquilibré. Les ados dans ces situations développent des comportements apathiques (pas de participation intellectuelle) soit des comportements problématiques (avec le privilège d’être exclu du cours)
- Elle fait naître le désir d’apprendre. Faire émerger du questionnement et c’est là qu’on transmet quand le problème est posé. Les élèves construisent des compétences et des connaissances mais ne peuvent pas construire des savoirs. L’enseignant est là pour répondre aux questions que les élèves se posent.
Cf Serge Boimare. Les enfants et la peur d’apprendre
Compétence consciente « je sais que je sais » : lorsqu’un élève arrive à résoudre un problème qui lui était un obstacle. Création de dopamine par le cerveau : un neurotransmetteur qui procure des ressentis agréables . Le décrochage scolaire : les enfants n’ont jamais connu cette forme de récompense hormonale.
Compétence inconsciente «je ne sais plus que je sais »
Dans cette boucle, l’évaluation permet aux élèves de se rassurer et de basculer d’une phase à une autre.
En équipe : on peut se poser les mêmes questions, et apporter des réponses différentes
Comment les élèves peuvent s’approprier ce raisonnement métacognitif ?
Cf documentaire : C’est apprendre qui est sacré. Delphine Pinson 2016 sur les ceintures. https://www.youtube.com/watch?v=uTo1LtPxHCc
3- les principes pédagogiques
Levier 1 : La notion de boucle éducative
Dynamique collective dès le départ permet de ne pas faire de différence. On fait appel à la didactique : situation problème, confrontation, trace écrite. Le début de séance doit rester un temps collectif. Après une série d’activités, on propose une évaluation : qui n’est ni formative, ni sommative. Des résultats vont dépendre de la suite à donner.
Soit une tâche complexe soit on peut demander de l’aide et mettre en place du tutorat afin de s’entraîner à nouveau.
Il faut faire attention de ne pas enfermer les élèves dans la boucle. On peut reprendre plus tard. Ce n’est pas condamner les élèves dans le « one shot »
En éducation, à chaque fois qu’on joue, on gagne. On apprend même des erreurs.
Il s’agit de garantir d’abord le socle.
On apprend mieux à plusieurs mais on ne peut jamais obliger quelqu’un à apprendre. Une évaluation ne peut être qu’individuelle afin que l’élève puisse démontrer tout ce qu’il a appris y compris en situation de coopération.
La coopération est une situation très responsabilisante. Travailler avec d’autres permet de développer des compétences très personnelles. On travaille des attitudes autonomes. Cela entraîne de la frustration mais on y apprend à « être meilleur que soi même » (cf Jacquard)
Une évaluation pour la réussite de tous ?
Cf la courbe de gauss (constante macabre André Antibi)
Une évaluation précise ?
« halte aux livrets avec 685 items »
Distinguer les pratiques d’individualisation et celles de personnalisation
« je suis une personne si je me lie à une personne » (Martin Buber 1923)
Pédagogie du Père Faure : le mouvement de pédagogie personnaliste et communautaire.
“ Je suis un individu” : c’est la plus petite unité vivante dans un groupe
Une personne : c’est une personne + son ensemble de réseau (une personne c’est JE+NOUS)
Individu se définit par l’étymologie comme ce qui constitue un corps
indivisible, sous peine de perdre les propriétés qui constituent son unicité.
L’individu, c’est l’ensemble qui fait un. Il s’applique à tout être formant une unité reconnaissable. L’individu est donc la plus petite unité d’un ensemble.
Ce serait la raison pour laquelle un « individu » serait trivialement utilisé
pour désigner quelqu’un avec qui on ne souhaite pas établir de relation
(« Un illustre individu », « Un triste individu »). C’est ainsi qu’un individu
est une personne, mais reconnu comme dénué d’intérêt et de relations. En modernité, la dimension individuelle est celle qui permet à l’être humain de se comprendre comme ne s’agrégeant pas d’abord à un groupe, une tribu,une communauté : l’individu est un être qui peut choisir son existence et s’affirmer à travers des choix de vie qui lui sont propres. Cette prise de conscience donne alors accès à un processus d’autonomisation et de responsabilisation d’un être se concevant comme pouvant décider de ses choix.
Personne vient du latin persona terme désignant le « masque de théâtre, » ouvert à l’emplacement de la bouche et à travers lequel pouvait passer la voix individuelle de l’acteur et ainsi per-sonare ou « sonner à travers »
(Arendt, 2009, p. 51), d’où l’appellation de « personnage. » On trouve la même idée avec le terme de prosôpon chez les Grecs. A ce niveau, la personne correspond donc à la manifestation de l’individu dans la société.
En même temps, ce mot identifiait une identité juridique, acception encore valable de nos jours. Avec la personne est mise en avant la part humaine de l’individu. En ce sens, Louis Not explique clairement que la personne est un être « unique » (critère d’unicité), sous-entendu original (Not, 1988, p. 17).
Elle est en même temps « une » (critère d’unité) c’est-à-dire une totalité unifiée. Il rajoute immédiatement après la dimension d’ouverture à autrui.
La personne est un être en relation, ce qui fonde la socialité humaine. En somme, ce qu’il désigne comme personne, c’est l’homme (et la femme) parmi les hommes et l’homme pour lui-même.
Individualiser, c’est donner à chaque élève un travail qui lui correspond.
Cela peut être le même travail pour tous (il s’agit alors de travail individuel), un travail donné à lui tout seul (on parle de travail isolé) ou un
travail adapté à ses potentialités, et différent pour chacun (on dit qu’il s’agit d’un travail individualisé – Cf. fichiers individualisés et autocorrectifs).
Personnaliser les apprentissages, c’est trouver un équilibre entre l’individuel et l’interactif. Dans une classe, c’est alterner des moments de travail collectif avec des situations de travail personnel, où les élèves effectuent des tâches qui leur parlent, avec la liberté de collaborer avec des camarades.
La pédago indiv : on donne la possibilité de faire une activité qui correspond à chaque individu. C’est difficile et très contre-productif. Ainsi les intelligences multiples de Gardner sont réinterrogées car ségrégatives et élitistes.
Il est contre-productif et contre nature de faire travailler les élèves de façon individuelle, comme c’est encore souvent le cas en salle informatique.
Situations didactiques :
des situations d’enseignement-apprentissages conduites par un enseignant: expression des représentations spontanées, exploration d’une situation-problème, conflit sociocognitif par du travail de groupe, confrontations, structuration par l’enseignant, systématisation. Ces temps de classe peuvent être collectifs, ce qui a le grand avantage d’être facile à organiser et de correspondre à ce que nous savons généralement bien faire.
Le pilier du travail individualisé –
des activités adaptées et progressives : à partir d’un traitement individuel des évaluations formatives et de supports d’entraînements autocorrectifs permettant aux élèves de progresser suivants des parcours propres à chacun.
Le pilier de la coopération –
une organisation rigoureuse de l’aide, l’entraide, le tutorat et le travail de groupe : pour que les élèves qui maîtrisent des compétences deviennent des personnes ressources dans la classe, pour que ceux qui rencontrent une difficulté ne se retrouvent pas seuls et bloqués, pour que les interactions permettent une évolution majorante des conceptions, pour que l’enseignant ne soit plus seul dans la délicate entreprise de l’accompagnement des apprentissages.
Levier 2 : équilibre temps collectif/temps personnalisé
On est sur le projet exact des heures d’accompagnement personnalisé
Équilibre entre des temps collectifs : situations didactiques, travail de groupe, traces écrites
Et des temps personnels : aide, entraide, tutorat, autonomie, plan de travail, responsabilités
On doit répartir dans le temps cet équilibre : en début d’année on est plutôt sur du temps collectif. Pour autant le temps personnalisé ne devrait pas dépasser 50%
Voir François Lamoureux : blog si c’est pas malheureux https://sicestpasmalheureux.com/category/ceintures-de-competences/
+ Expérience des étoiles de compétences https://www.youtube.com/watch?v=9GNzoS2Ujfw
Quand on a besoin d’aide : on peut demander à la maîtresse ou à un enfant qui a un niveau supérieur.
Levier 3 : programmation des enseignements et progression des apprentissages
Programmation des enseignements : Répartition selon le calendrier de séquences d’enseignements
Progression d’apprentissage : ce peut être un seul et même doc pour tous les élèves. On valide ce qui a été réussi.
Tous les élèves peuvent en être à des niveaux différents mais l’objectif est d’arriver à ce qu’un maximum d’élèves valide.
Voir tableau brevet/ceinture/blason/arbre de connaissance : on valide ce qui a été réussi.
Il faut un système clair pour les enseignants, les élèves et les parents.
En collège : exemple : Sur 4h de classe : 1heure est réservé au travail personnalisé. Avec un plan de travail : 30 min de travail personnalisé +25 min d’éval.
Levier 4 : l’autocorrection vs auto-évaluation
Auto-évaluation demande une maturité importante, elle n’a pas sa place à l’école car trop complexe sauf si c’est de la co évaluation qui permet de comparer.
L’auto correction porte sur les entrainements. Elle deux intérêts :
- Moins de correction à faire pour le prof : ce qui libère du temps pour autre chose et rend disponible pour être présent devant la classe
- Responsabilisation des élèves. A tout moment on peut aller chercher la réponse et la recopier. L’évaluation, individuelle, va renvoyer, par rétro action, l’élève à sa responsabilité et à la confiance et la reconnaissance mutuelle. Les élèves comprennent que c’est en s’entrainant qu’ils apprennent.
et
- Entretient une relation pédagogique de qualité (la saveur du métier d’enseignant)
Cela implique des supports en autonomie, une structure coopérative, des tests non-autocorrectifs et non coopératifs